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  père : Isaac de Boysson mère : Jeanne Claude de Bideran      
 

Jean de Boysson

Président au Présidial de Cahors

 

10 novembre 1677 - 1736

 

 

conjoint :

Marie de Ricard

 
 

 

Jean est né à Cahors le 10 novembre 1677.

Le parrain est M. Delard (ou Gallard), bourgeois, la marraine Françoise de Boysson.

Son père lui cède sa charge de Président au Présidial de Cahors en 1714 (les lettres de provision sont du 22 octobre 1714 ADTG C548-31)

Epouse en 1722 Marie de Ricard.

Il semble, au moins après 1726, abandonner le surnom de "Gramon" qu'avait pris son père.

Il rendit hommage au Roy par procureur le 28 juillet 1727 (ADTG C431-22) pour "huit quartes un quarton bled froment deux quartons seigle quatre quartes avoine de rente noble fonciere et directe mesure de Cazals ensemble une quarte deux quartons bled froment trois quartons seigle un quarton avoine mesure de Cahors aussi de rente directe avec tous les drois seigneuriaux que ledit sieur jouit dans la paroisse de Monclera le tout assis et situé dans la senechaussée de Gourdon"

En vertu de cet hommage, il dénombra ses biens le 19 juillet 1729 (ADTG C434-27 et 28)

  • Dans la paroisse de Gindou Juridiction de Cazals en Quecy le fief anciennement appelé de Savignac a presant de Las Bouygues autrement de Marguerit avec tous droits de seigneurerie rentes lods (...)
  • plus dans la meme paroisse un autre fief autrement appelé de Lagarrigue haute et basse
  • Sur les emphythéoses desquels fiefs le sieur denombrant a droit de lever une rente annuelle et perpetuelle noble fonciere et directe avec tous droits seigneuriaux trois quartes bled froment deux quartes seignle et deux quartes avoine (...) conformément au dénombrement fourni par ledit sieur Isaac Boysson authorizé par jugement du 21 mai 1671"

Il se trouva en conflit avec son oncle Jean de Boysson-Delpech, qui lui rappelait que la plupart des obligations découlant de la transaction de 1665, n'avait pas été honorée, malgré plusieurs mises en demeure. A ces dettes avaient été opposées des compensations ou des créanciers prioritaires, tels que Montmeja de Villefranche.

Il invoquera la prescription, ajoutant à toutes fins utiles que, par privilège de sa charge de président, il reporterait une éventuelle assignation devant le lointain parlement de Toulouse. Le viel oncle, amer, renoncera finalement à faire valoir ses droits.

Jean est inhumé en l'église St Maurice de Cahors.

 

 

frères et soeurs :

Marie

Anne

Elizabeth

Françoise

Denis

 
 

enfants : François-Marie, Isaac.