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père : Henry de Boysson | mère : Jeanne l'Orillard d'Aubigny | ||||||||||||||||||||||||
Max de Boysson
1888 - 1966 |
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conjoint : Marguerite de Monès d'Elbouix | |||||||||||||||||||||||
Max (Marie, Ludovic) de Boysson naquit à Doyssac, le 29 octobre 1888. Il y fut baptisé et eut pour parrain, Richard de Boysson, maire de Cénac, son oncle, et pour marraine, Mélanie l'Orillard d'Aubigny, rentière à Poitiers, sa cousine. Max commença ses études dans sa famille, à Doyssac, sous la direction de Melle Camille Albugues, institutrice libre, que ses parents chargeaient alors de l'éducation de leurs plus jeunes enfants, les aînés étant pensionnaires, soit à Sarlat, soit à Layrac. Il les continua au collège catholique de Ste Foy-la-Grande de 1900 à 1903. Elles furent interrompues en novembre 1903 par une grave maladie (coxalgie) survenue à la suite d'un accident (jet de pierres au cours d'une récréation). Quand il fut rétablit après de longues années de souffrance, de patience et d'interventions de chirurgiens, Max entra, comme employé, aux agences de la Banque de Bordeaux, à Sarlat, puis à Mont de Marsan. En 1912, il fut attaché à la Sté Centrale des Banques de Province à Paris, rue Cambon, et y resta jusqu'en 1920. A partir de cette époque, il s'occupa à Paris de diverses affaires d'ordre bancaire et immobilière, pour finalement s'intéresser exclusivement à des gérances d'immeubles et à des affaires immobilières (ancienne sté John Arthur et Tiffen). Max de Boysson épousa à Paris, le 15 octobre 1927, Marguerite (dite guitou) de Monès d'Elbouix, fille de Charles, attaché à la Banque de France, résidant à Périgueux, et de Marguerite Tricand de la Goutte. Max eut pour témoin Raoul de Chaunac, son cousin issu de germain, et Marguerite (dite guitou), Charles de Monès, son frère. Le ménage se fixa à Paris. Après sa retraite de la maison Arthur et Tiffen, Max et Guitou allèrent résider à Nice où Max décéda en 1966 et Guitou le 25 mai 1986.
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frères et soeurs : | ||||||||||||||||||||||||
enfants : |
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