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Hotel Huc de Boysson
 
 

 

 
 
 
 
 
La tour vue de la cour intérieure
   
Détails de la fenêtre:
le chien se gratte l'oreille
la femme est entourée d'une branche
 
fenêtre gothique située dans l'ancien jardin, fin XVè s.

 

En 1458, l'immeuble primitif (11 rue Malcousinat) était en ruine (registre de pagellation de 1458: " Moss. Huc BOYSSO, dict qué ha hun hostal à la carriere dels Cambis, et es fort detruit"). La tour de l'hôtel de Boysson fut bâtie juste après le grand incendie de 1463. Le registre de pagellation de 1478 indique alors : " les héritiers de moss. Huc BOYSSON an aquis meteys un hostal large et grand, am son ort daré, et sailh à la carrière de Pélières ( rue Malcousinat ) tout bastit "...

Les façades de la cour présentent des portes et des fenêtres Renaissance. La fenêtre du premier étage, ornée de trois cariatides engainées, est surmontée par une petite fenêtre au larmier sur modillons présentant des chiens. Au fond à gauche de la cour, un étroit passage donne accès à une deuxième cour où à été conservée une galerie sur deux arcs surmontée de fenêtres à croisillons. Au dessus : une tour à six fenêtres enchâssées dans des constructions plus récentes.

Le clocheton pointu qui dominait la tourelle circulaire a disparu au XIXè s.

En 2006, l'Hotel de Boysson est devenu la maison de l'occitanie, centre de rayonnement toulousin de la culture occitane. Cette inauguration a pris la forme d'une grande fête à la mode occitane.

 
     
 
 
Accueil par un discours en occitan de notre "oncle"; le comédien Maurici Andrieu

Voir l'évènement dans le carnet familial

 

L'hotel est mentionné dans un article de la revue du Touring Club de France parue en mai 1937 . Il a été classé aux monuments historiques en 1928 : " Tour, salle basse et cheminée gothique édifiées entre 1458 et 1478. La tour est couronnée de mâchicoulis et flanquée d'une tourelle. Le manteau de la cheminée conserve le blason du capitoul. Corps de logis entre les deux cours daté de 1535, construit par le capitoul Jean de Cheverry. "