Menu du site

 

Accueil

 
Membres
Maisons Familiales
Entre nous...
Liste de diffusion
 
 
 


 

Me contacter
  Document sans titre
   
  père : Jean de Boysson mère : Marguerite de Beaupoil de Saint-Aulaire    
 

Charlotte de Boysson

 

18 octobre 1896 - 15 septembre 1955

 

conjoint : 1°) Maurice Piochard de La Brûlerie

2°) René de Boysson

 
 

 

Charlotte (Louise,Esther) de Boysson naquit à Sarlat, à l'hôtel de Génis, le 18 octobre 1896.

Elle fut baptisée le lendemain en la cathédrale de Sarlat ; elle eut pour parrain Charles de St Aulaire, son aieul maternel, et pour marraine Louise de Boysson, sa tante paternelle.

Charlotte n'avait que deux ans quand elle perdit sa mère, le 25 avril 1898. Ses oncle et tante Richard de Boysson, la recueillirent à Cénac et l'adoptèrent. Elle y fit son éducation jusqu'en 1912, et fut ensuite mise en pension, pendant deux ans, chez les Dames du Sacré­Coeur de Fontaine-l'Evêque, en Belgique. Elle revint, alors, auprès de son oncle Richard, qui s'était retiré à Sarlat après la mort de sa femme.

Le 16 juillet 1918, Charlotte de Boysson épousa, en l'église de Vitrac, Maurice Piochard de La Brûlerie, né à Joigny (Yonne) le 20 novembre 1891, fils du Comte Marcel Piochard de La Brûlerie et d'Alice Compin. Les témoins furent pour le marié le Comte Imbart de la Tour, son cousin maternel et pour la mariée, Richard de Boysson, son oncle paternel.

Maurice de la Brûlerie, inscrit comme avocat à la Cour d'Appel de Paris remplit pendant plusieurs années la fonction de secrétaire d'avocat. Il mourut sans postérité en 1942.

Après le décès de son mari, Charlotte continua à résider à Paris tout en conservant comme résidence d'été la propriété de son oncle Richard à Cénac dont elle avait héritée. Elle devait vendre sa propriété de Cénac plus tard, vers 1951 après son second mariage. Elle exerça ses talents de pianiste et d'organiste de talent aux orgues de diverses églises de Paris et de sa banlieue.

Ayant sucé dès le plus jeune âge le lait sarladais, elle avait hérité de ce pays l'esprit caustique, l'abondance du verbe, et de sa mère l'observation rapide du travers du genre humain.

Le 6 octobre 1950, elle épousa en seconde noces son cousin René de Boysson lui-même veuf de Galiène de la Chapelle.

Charlotte devait décéder 5 ans plus tard à Paris, le 15 septembre 1955, des suites d'une douloureuse maladie.

 

frères et soeurs :  
 

enfants :